Les murs sont de plus en plus épais en raison des normes d'isolation plus strictes pour les nouveaux bâtiments et les rénovations. Cela a un impact direct sur la construction des avant-toits des toits plats, qui deviennent par conséquent plus larges. La stabilité du contreplaqué ou du contreplaqué en béton utilisé est donc d'autant plus importante.
Plus la dalle est large, plus les dégradations sont visibles rapidement, surtout sous l'influence des tempêtes. Un début de pourriture peut entraîner le détachement de la couche supérieure sous l'effet de vents violents.
Nous en avons un exemple dans une maison qui a subi une tempête peu de temps après son achèvement. L'ensemble des murs était constitué d'une isolation en EPS avec une finition en crépi. La seule stabilité provenait de la couche supérieure en béton cellulaire du mur intérieur, avec une couverture murale d'environ 45 à 50 cm de large.
Le problème : le choix s'est porté sur un panneau composé d'essences de bois de la classe de durabilité 5, comme le peuplier, l'eucalyptus et le bouleau. En raison d'un début de pourriture, les avant-toits se sont détachés, ce qui a endommagé la finition de la façade en crépi.
(Pour être sûr : aucun Contreplaqué solide John Concrete utilisé 😉)
Il est essentiel à la fois qualité des panneaux si le méthode de fixation à souligner. Une fixation mécanique en plinthe sur le mur intérieur est fortement recommandée.
Il faut éviter de placer les vis sur une seule ligne, car cela rend l'avant-toit vulnérable aux intempéries, quelle que soit la qualité du panneau.
Dans ce cas particulier, des fers en L avaient été installés pour un soutien supplémentaire, conformément aux directives du WTCB. Cependant, ils n'ont pas été d'une grande utilité car le panneau a commencé à pourrir peu de temps après l'achèvement des travaux.
