Cela arrive parfois : Le toit d'un projet de construction est en train d'être imperméabilisé. Pour le revêtement, le maître d'ouvrage souhaite une réflexion plus approfondie. "Pas de problème, j'en entendrai parler", répond le couvreur. Les semaines, voire les mois, passent. Pas un nuage dans le ciel : jusqu'à ce que quelqu'un s'en aperçoive : tous les panneaux à cavité sont devenus pourris et délaminés 😱. Cela vous rappelle quelque chose ? Vous n'êtes pas seul, comme le prouve ce cas. Comment vous pouvez facilement éviter cela, lisez ci-dessous.
Dans ce cas, le choix s'est porté sur un essences de bois de faible durabilité et collage non résistant à l'humidité. Sous l'effet de l'humidité, les couches se sont détachées les unes des autres et le bois a commencé à pourrir.
Un contreplaqué ou un contreplaqué en béton pour conditions humides doit idéalement présenter les caractéristiques suivantes les présentes spécifications:
Le Crepi est presque toujours installé APRÈS les travaux de toiture. Le couvreur vient imperméabiliser la toiture à un moment où il n'y a pas de bardage et donc pas de protection de la charpente.
La situation est alors la suivante : l'ensemble de la toiture est installé, à l'exception de l'avant-toit, qui ne sera installé qu'une fois que l'ensemble de la façade sera entièrement en place.
Le contreplaqué qui sert de surplomb à la cavité reste donc plus longtemps exposé à l'humidité.
Pour un contreplaqué de la bonne classe de durabilité, cela ne pose pratiquement aucun problème.mais c'est là que le bât blesse dans de nombreux cas. Sans souvent s'en rendre compte, on installe un contreplaqué pour l'intérieur, avec toutes ses conséquences....
Dans le cas d'un pignon en briques, vous ne verrez pas cela aussi facilement. En effet, la maçonnerie est généralement installée AVANT la pose du toit plat. L'avant-toit n'est donc pas exposé à la pluie et à l'humidité dans une telle mesure.
Pourtant, nous donnons le même conseil ici: en cas d'humidité, toujours choisir le chantier de construction avec les spécifications correctes.
Dans ce cas, le contreplaqué a dû attendre 6 mois pour la finition de la façade. Ce n'est pas un problème si l'on utilise le bon panneau, mais c'est un problème avec des panneaux inadaptés. Les panneaux étaient donc pourris et délaminés.
Le résultat ? Tous les joints de bord de toit ont dû être rouverts et un nouveau contreplaqué a été installé. Le coût a été partagé entre le constructeur et le couvreur.
Ce cas montre qu'il est essentiel pour les couvreurs de choisir un contreplaqué avec garantie. En tant qu'artisan, vous êtes alors assuré d'une composition cohérente. Encore une planche pourrie quelque part, ou un cas de délamination ? Profitez de votre garantie concluante et ne payez pas la facture vous-même.
